Découvrez la scène musicale girondine vue par les bibliothécaires musicaux !

La bibliothèque de Bordeaux Grand Parc s’expose à la Base sous marine !

Du 9 mars au 19 mai 2019, la bibliothèque de Bordeaux Grand Parc s’affiche au cœur de l’exposition « D’un soleil à l’autre » proposée à la Base sous-marine (Bassins à flot à Bordeaux).

Dans le cadre de cette exposition, voyage poétique dans l’Espace à travers une sélection d’œuvres d’artistes emblématiques du dialogue entre création contemporaine et création numérique, la bibliothèque de Bordeaux Grand Parc met à l’honneur son fonds de disques vinyle en présentant une sélection de pochettes de disques en lien avec l’espace ! En voici la bande-son !

Détail de la sélection musicale proposée par les bibliothécaires de Bordeaux Grand Parc à retrouvez en ligne et au seinde l’exposition :

 

Interstellar main theme (2014) / Hans Zimmer (Musique de film)

Bande originale du film Interstellar, réalisé par Christopher Nolan. Ce n’est pas la première collaboration Nolan / Zimmer, ce dernier ayant déjà composé la musique des films Inception et la trilogie Batman

Across the Universe (1970) / The Beatles (Pop / Rock)

Cette chanson a été diffusée dans l’espace par la NASA le 4 février 2008 en direction de l’Étoile polaire !

Exogenesis : Symphony Pt1 (2009) / Muse (Metal progressif, Rock Indé)

« Exogenesis: Symphony » est présentée par le groupe comme une symphonie en trois mouvements intitulés Overture, Cross-Pollination et Redemption. Clôturant leur album The Resistance, il s’agit du premier morceau du genre à être réalisé par le groupe.

Life on Mars ? (1971) / David Bowie (Glam / Pop Rock)

La BBC qualifie ‘Life on Mars?’ de chanson ayant « les paroles les plus étranges jamais écrites » !

Surrounding Seas (1981) / Jean Pierre Decerf (space disco)

La musique planante d’un pionnier de la musique électronique des années 1970.

New Star in the Sky (1998) / Air (Electro downtempo)

Issu du premier album du duo français AIR, qui s’est depuis vendu à 2 millions d’exemplaires dans le monde.

Wandering Star (1994) / Portishead (Trip Hop / Electro Downtempo)

Wandering Star »/ »Étoile Errante » est un terme poétique archaïque pour définir une planète. Le refrain de ce morceau vient partiellement d’un extrait de la bible, L’Épitre de Jude Chapitre 1 Verset 13: « Wandering stars, to whom is reserved the blackness of darkness forever »/ « Des astres errants, auxquels l’obscurité des ténèbres est réservée pour l’éternité. »

Walking on the Moon / The Police (Reggae Pop)

Dans son autobiographie, Sting explique « J’étais ivre dans une chambre d’hôtel à Munich, affalé sur mon lit, avec le décor tourbillonnant, lorsque ce rythme est entré dans ma tête. Je me suis levé et j’ai fait le tour de la chambre en chantant : « Marcher autour de la chambre, la marche autour de la chambre » (« walking ’round the room » en anglais). Ce fut tout. À la lumière fraîche du matin, je me suis rappelé ce qui s’était passé et j’ai écrit le morceau. Mais Walking ’round the room était un titre stupide alors j’ai pensé à quelque chose d’encore plus stupide qui a été « Walking on the Moon ». »

Le Rêve (1979) / Patrick Juvet (Electro)

La compilation « Cosmic Machine » exhume 20 titres électronique made in France de l’ époque fébrile à la charnière des années 60 et 70 .

Ma bonne étoile (2003) / -M- (Chanson française)

Cette chanson est dédiée à Mathieu Boogaerts en réponse au morceau « Matthieu » écrite en 2002 pour –M-.

Ils existent (2017) / Zombie Zombie (Electro / Indé)

Le groupe français qui se chargent de défoncer les portes de la perception à force d’albums qui convoquent à peu près tout et n’importe quoi: les rythmiques motorik de Can, le prog-rock un peu cheesy, la cosmic disco façon Lindstrøm, l’italo qui sent bon les 80’s, la grandiloquence synthétique d’un Jean-Michel Jarre, l’esprit facétieux d’un Sun Ra Arkestra ou encore les B.O. de John Carpenter . Une expérience passionnante qui nous place complètement en dehors d’un espace-temps connu.

Ainsi parlait Zarathoustra (« 2001 odyssée de l’espace – Main title ») (1896) /  Richard Strauss (Symphonie)

Cette œuvre est librement inspirée par le poème philosophique « Ainsi parlait Zarathoustra » de Friedrich Nietzsche. Le réalisateur Stanley Kubrick a utilisé la musique du compositeur allemand au début de son film 2001, L’odyssée de l’espace en 1968. Une séquence devenue mythique grâce à ce chef d’œuvre cinématographique.